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Il y a celles et ceux pour qui la digestion ne pose aucun problème, d’autres qui ont l’impression de ressentir une gêne lors de la digestion. Ce trouble est très fréquent et se manifeste par des ballonnements, des brûlures gastriques, de la constipation… et d’autres qui ont des symptômes digestifs désagréables dès le début du repas.

Ces troubles peuvent s’installer et devenir chroniques, laissant les personnes impuissantes. La naturopathie s’avère alors un recours précieux pour remédier aux troubles digestifs. Des recommandations hygiéno-diététiques et des changements dans l’alimentation, peuvent permettre de faciliter la digestion et de rendre plus agréable le moment du repas et de l’après-repas.

Les signes d’une mauvaise digestion

  • constipation et/ou diarrhée chroniques,
  • selles anormales (collantes / graisseuses / trop sèches / morceaux d’aliments visibles etc),
  • ballonnements,
  • remontées acides et brûlures d’estomac,
  • gaz malodorants,
  • spasmes, douleurs,
  • langue très chargéemauvaise haleine récurrente,
  • lourdeur, très gros coup de barre après les repas…

Les erreurs à éviter pendant et après le repas

1 – Faire une sieste après le repas

De nombreuses personnes aiment faire une petite sieste juste après manger. Si 10 à 15 minutes suffisent pour reposer le cerveau, il est préférable d’attendre 2 heures après le déjeuner.

Pourquoi ? Tout simplement parce que quand on dort, on s’allonge. Cette position bouleverse complètement le processus de digestion. Les aliments ont plus de mal à descendre dans les intestins, et restent donc plus longtemps dans notre estomac, ce qui ralentit la digestion.

De plus, la position allongée peut entraîner une remontée des sucs gastriques vers l’œsophage et le pharynx. Ce qui se traduit par une sensation de brûlure dans la gorge et la bouche.

2 – S’asseoir après le déjeuner

Après la dernière bouchée avalée, s’il ne faut pas s’allonger et faire une sieste juste après le repas, il ne faut pas non plus s’asseoir ! La position assiste comprime l’estomac. La meilleure solution est donc de s’offrir une marche digestive d’environ 10 minutes.

3 – Fumer après le déjeuner

Oubliez la cigarette d’après-repas ! Le fait que la nicotine avalée après le repas va passer dans notre tube digestif et se mélanger à l’oxygène contenu dans notre sang. Ce qui accroîtrait considérablement le risque de cancer. Il est préférable d’attendre au moins 1h30 après un repas pour s’allumer une cigarette. 

4 – La prise de boissons

Les adeptes du thé après le repas devraient patienter 1 heure après le déjeuner avant de déguster leur infusion. Les tanins inhibent certaines enzymes digestives dans l’organisme et compliquent l’absorption du fer.

Quant au café, il active la production de suc gastrique dans l’estomac, le liquide va permettre la digestion. Il stimule également les intestins et permet de lutter contre la constipation. À noter toutefois que chez les personnes ayant un système digestif fragile, la caféine peut provoquer des brûlures d’estomac.

5 – Mâcher du chewing-gum

Pour rafraîchir l’haleine ou pour se nettoyer les dents, on prend souvent l’habitude de mâcher un chewing-gum. Mais le chewing-gum fait avaler de l’air, ce qui ralentit la digestion et peut provoquer des ballonnements.

6 – Faire du sport

Il est déconseillé de faire du sport pendant la digestion car la digestion et l’effort physique sont deux processus qui pompent de l’énergie et ont donc pour conséquence s’ils ont lieu en même temps, de la fatigue, des vertiges…

De manière globale, il est mieux de laisser un temps entre le moment où l’on mange et celui où l’on fait du sport. Il est conseillé d’attendre entre 1h et 1h30 entre le moment de la collation et le début de l’activité sportive.

7 – Porter des vêtements trop serrés

Les vêtements trop serrés qui, portés en outrance, peuvent causer certains désagréments que nous pourrions facilement éviter, comme la compression de l’abdomen.

Cette pression exercée sur le ventre se manifeste par le travail lent de l’estomac et par conséquent, la digestion incorrecte. Cela résulte en douleurs abdominales, constipation et ventre ballonné.

Alors, bannissez les vêtements serrés et préférez ceux qui vous font vous sentir à l’aise.

La nécessité d’améliorer la digestion

A court terme, ces troubles ne semblent pas importants ; mais à long terme, leur impact vont s’avérer plus problématiques.

Leurs conséquences pourraient engendrer des carences, un déséquilibre du microbiote intestinal, une prise de poids, une baisse de l’immunité, une candidose chronique, une diverticulose, une fatigue chronique, une hyper-perméabilité intestinale.

Mieux vaut y remédier rapidement et de façon naturelle afin de préserver sa santé.

Les solutions naturelles apportées par la naturopathie

1 – Manger dans de bonnes conditions

On ne le répétera jamais assez, l’importance de bien mâcher. La mastication consiste à broyer les aliments avant de les ingérer. Elle est considérée comme la première étape de la digestion, mais présente d’autres bienfaits non-négligeables. 

Elle est souvent bâclée, alors que sans son action préalable, tout le processus de digestion est impacté. En effet, elle permet à la salive de commencer à dégrader les aliments pour permettre une meilleure absorption des nutriments (protéines, glucides, lipides, etc) dans l’estomac et l’intestin. 

En prenant le temps de mastiquer, on anticipe et on facilite donc le travail de l’estomac. Une plus longue mastication aide notamment à diminuer certains troubles digestifs. Avaler de plus petites portions d’aliments et bien les mastiquer contribue aussi à réduire la pression contre le sphincter de l’œsophage, ce qui prévient les risques de reflux gastriques.

Prendre le temps de manger permet aussi de faciliter la digestion. Nous avons tous déjà ressentit cette sensation désagréable de ballonnements après avoir mangé trop vite. Ce sont ces sensations qu’il faut éviter. Manger lentement signifie donc bien mastiquer et apprécier les saveurs de chaque plat ou aliment. 20 minutes et 1 heure suffisent pour pouvoir bien digérer.

Manger dans le calme. C’est bien connu : le stress perturbe la digestion. S’il est répété, il peut engendrer différentes pathologies digestives. Il est d’ailleurs l’un des principaux facteurs du syndrome de l’intestin irritable. Cette pathologie implique des douleurs abdominales, troubles du transit (diarrhée et/ou constipation) et ballonnements.

Manger en position assise. La position la plus commune, c’est la position assise avec le dos bien droit, les genoux au même niveau que le bassin et les pieds à plat sur le sol. En effet, en vous tenant ainsi, l’estomac est détendu et la digestion se fait alors plus facilement.

En revanche, lors que l’on mange debout, les aliments sont mal mastiqués, ce qui favorise les ballonnements et les reflux gastriques.

L’important est également d’écouter son corps et de manger uniquement quand on a faim (et non « quand il est l’heure de manger »). Manger lorsqu’on a faim permet de respecter ses besoins physiologiques. Manger à satiété signifie donc manger suffisamment, mais pas trop.

2 – Faire les bons choix alimentaires

Les fruits et les légumes constituent la majorité de notre alimentation. Pourtant, de nombreuses personnes ont une alimentation de base composée principalement de glucides, voire même exclusivement. Les fibres contenues dans les légumes et les fruits permettent de régulariser le transit intestinal et amènent à la satiété.

Certaines légumineuses peuvent provoquer des ballonnements et des flatulences, rendant l’estomac douloureux et gonflé. Alors, il convient d’en limiter la consommation. De même que le type de cuisson a son importance. Il est préférable de cuire les aliments à cuisson douce, au lieu de les frire, les fritures sont trop riches et trop lourdes pour la digestion.

Concernant les fruits, préférez-les en collation, au lieu de les prendre en fin de repas. Ils peuvent causer des lourdeurs post-prandiales chez certaines personnes.

Boire suffisamment toute la journée en dehors des repas est essentiel car cela va permettre d’optimiser une meilleure digestion et un transit optimal. L’apport hydrique journalier est aux alentours d’1,5 litre par personne.

En cas de sensibilité de certains intestins, il vaut mieux favoriser la consommation de légumes cuits, au lieu des crudités, qui peuvent être difficiles à supporter.

De même, les produits transformés par l’industrie et ceux contenant du gluten sont à éloigner pendant quelques jours. Ce sont des aliments pro-inflammatoires qui agressent les intestins. Quant au produits laitiers, la présence de lactose, contenu dans le lait de vache, peut être difficile à digérer par le foie. Il est préférable de l’éloigner également.

Les erreurs à éviter pendant et après le repas

1 – Faire une sieste après le repas

De nombreuses personnes aiment faire une petite sieste juste après manger. Si 10 à 15 minutes suffisent pour reposer le cerveau, il est préférable d’attendre 2 heures après le déjeuner.

Pourquoi ? Tout simplement parce que quand on dort, on s’allonge. Cette position bouleverse complètement le processus de digestion. Les aliments ont plus de mal à descendre dans les intestins, et restent donc plus longtemps dans notre estomac, ce qui ralentit la digestion.

De plus, la position allongée peut entraîner une remontée des sucs gastriques vers l’œsophage et le pharynx. Ce qui se traduit par une sensation de brûlure dans la gorge et la bouche.

2 – S’asseoir après le déjeuner

Après la dernière bouchée avalée, s’il ne faut pas s’allonger et faire une sieste juste après le repas, il ne faut pas non plus s’asseoir ! La position assiste comprime l’estomac. La meilleure solution est donc de s’offrir une marche digestive d’environ 10 minutes.

3 – Fumer après le déjeuner

Oubliez la cigarette d’après-repas ! Le fait que la nicotine avalée après le repas va passer dans notre tube digestif et se mélanger à l’oxygène contenu dans notre sang. Ce qui accroîtrait considérablement le risque de cancer. Il est préférable d’attendre au moins 1h30 après un repas pour s’allumer une cigarette. 

4 – La prise de boissons

Les adeptes du thé après le repas devraient patienter 1 heure après le déjeuner avant de déguster leur infusion. Les tanins inhibent certaines enzymes digestives dans l’organisme et compliquent l’absorption du fer.

Quant au café, il active la production de suc gastrique dans l’estomac, le liquide va permettre la digestion. Il stimule également les intestins et permet de lutter contre la constipation. À noter toutefois que chez les personnes ayant un système digestif fragile, la caféine peut provoquer des brûlures d’estomac.

5 – Mâcher du chewing-gum

Pour rafraîchir l’haleine ou pour se nettoyer les dents, on prend souvent l’habitude de mâcher un chewing-gum. Mais le chewing-gum fait avaler de l’air, ce qui ralentit la digestion et peut provoquer des ballonnements.

6 – Faire du sport

Il est déconseillé de faire du sport pendant la digestion car la digestion et l’effort physique sont deux processus qui pompent de l’énergie et ont donc pour conséquence s’ils ont lieu en même temps, de la fatigue, des vertiges…

De manière globale, il est mieux de laisser un temps entre le moment où l’on mange et celui où l’on fait du sport. Il est conseillé d’attendre entre 1h et 1h30 entre le moment de la collation et le début de l’activité sportive.

7 – Porter des vêtements trop serrés

Les vêtements trop serrés qui, portés en outrance, peuvent causer certains désagréments que nous pourrions facilement éviter, comme la compression de l’abdomen.

Cette pression exercée sur le ventre se manifeste par le travail lent de l’estomac et par conséquent, la digestion incorrecte. Cela résulte en douleurs abdominales, constipation et ventre ballonné.

Alors, bannissez les vêtements serrés et préférez ceux qui vous font vous sentir à l’aise.

La nécessité d’améliorer la digestion

A court terme, ces troubles ne semblent pas importants ; mais à long terme, leur impact vont s’avérer plus problématiques.

Leurs conséquences pourraient engendrer des carences, un déséquilibre du microbiote intestinal, une prise de poids, une baisse de l’immunité, une candidose chronique, une diverticulose, une fatigue chronique, une hyper-perméabilité intestinale.

Mieux vaut y remédier rapidement et de façon naturelle afin de préserver sa santé.

Les solutions naturelles apportées par la naturopathie

1 – Manger dans de bonnes conditions

On ne le répétera jamais assez, l’importance de bien mâcher. La mastication consiste à broyer les aliments avant de les ingérer. Elle est considérée comme la première étape de la digestion, mais présente d’autres bienfaits non-négligeables. 

Elle est souvent bâclée, alors que sans son action préalable, tout le processus de digestion est impacté. En effet, elle permet à la salive de commencer à dégrader les aliments pour permettre une meilleure absorption des nutriments (protéines, glucides, lipides, etc) dans l’estomac et l’intestin. 

En prenant le temps de mastiquer, on anticipe et on facilite donc le travail de l’estomac. Une plus longue mastication aide notamment à diminuer certains troubles digestifs. Avaler de plus petites portions d’aliments et bien les mastiquer contribue aussi à réduire la pression contre le sphincter de l’œsophage, ce qui prévient les risques de reflux gastriques.

Prendre le temps de manger permet aussi de faciliter la digestion. Nous avons tous déjà ressentit cette sensation désagréable de ballonnements après avoir mangé trop vite. Ce sont ces sensations qu’il faut éviter. Manger lentement signifie donc bien mastiquer et apprécier les saveurs de chaque plat ou aliment. 20 minutes et 1 heure suffisent pour pouvoir bien digérer.

Manger dans le calme. C’est bien connu : le stress perturbe la digestion. S’il est répété, il peut engendrer différentes pathologies digestives. Il est d’ailleurs l’un des principaux facteurs du syndrome de l’intestin irritable. Cette pathologie implique des douleurs abdominales, troubles du transit (diarrhée et/ou constipation) et ballonnements.

Manger en position assise. La position la plus commune, c’est la position assise avec le dos bien droit, les genoux au même niveau que le bassin et les pieds à plat sur le sol. En effet, en vous tenant ainsi, l’estomac est détendu et la digestion se fait alors plus facilement.

En revanche, lors que l’on mange debout, les aliments sont mal mastiqués, ce qui favorise les ballonnements et les reflux gastriques.

L’important est également d’écouter son corps et de manger uniquement quand on a faim (et non « quand il est l’heure de manger »). Manger lorsqu’on a faim permet de respecter ses besoins physiologiques. Manger à satiété signifie donc manger suffisamment, mais pas trop.

2 – Faire les bons choix alimentaires

Les fruits et les légumes constituent la majorité de notre alimentation. Pourtant, de nombreuses personnes ont une alimentation de base composée principalement de glucides, voire même exclusivement. Les fibres contenues dans les légumes et les fruits permettent de régulariser le transit intestinal et amènent à la satiété.

Certaines légumineuses peuvent provoquer des ballonnements et des flatulences, rendant l’estomac douloureux et gonflé. Alors, il convient d’en limiter la consommation. De même que le type de cuisson a son importance. Il est préférable de cuire les aliments à cuisson douce, au lieu de les frire, les fritures sont trop riches et trop lourdes pour la digestion.

Concernant les fruits, préférez-les en collation, au lieu de les prendre en fin de repas. Ils peuvent causer des lourdeurs post-prandiales chez certaines personnes.

Boire suffisamment toute la journée en dehors des repas est essentiel car cela va permettre d’optimiser une meilleure digestion et un transit optimal. L’apport hydrique journalier est aux alentours d’1,5 litre par personne.

En cas de sensibilité de certains intestins, il vaut mieux favoriser la consommation de légumes cuits, au lieu des crudités, qui peuvent être difficiles à supporter.

De même, les produits transformés par l’industrie et ceux contenant du gluten sont à éloigner pendant quelques jours. Ce sont des aliments pro-inflammatoires qui agressent les intestins. Quant au produits laitiers, la présence de lactose, contenu dans le lait de vache, peut être difficile à digérer par le foie. Il est préférable de l’éloigner également.

3 – Les plantes : une aide précieuse

Pour mieux aider son estomac, vous pouvez terminer le repas par une tisane au lieu du sempiternel café. Voici quelques plantes qui vont aider efficacement à la digestion :

  • La menthe (poivrée) soulage les spasmes.Il existe plusieurs façons de profiter des bienfaits digestifs de la menthe poivrée.
  • Le fenouilcontre les gaz et les nausées. Les graines du fenouil sont très intéressantes, en particulier pour leurs propriétés digestives. Riches en principes actifs, elles favorisent la digestion et permettent de lutter contre de nombreux petits maux de la sphère digestive.
  • Le basilic stimule la digestion. Plante aromatique au goût délicieux, elle recèle de nombreuses propriétés santé, en particulier sur la sphère digestive. Il permet en effet de soulager les ballonnements et les gaz, de diminuer les crampes d’estomac et, de manière plus générale, de stimuler la digestion.
  • Le chardon-Marie stimule le foie. Connue depuis des siècles pour ses bienfaits biliaires et hépatiques, elle aide à traiter les excès de bile et à prévenir les congestions du foie. Elle permet également de traiter efficacement les différentes maladies du foie : intoxications, hépatites, cirrhoses…
  • Le radis noir pour un effet détox. Bien connu pour ses propriétés détox, le radis noir nettoie le foie pour stimuler son bon fonctionnement, et donc rétablir une digestion optimale.
  • La fumeterre pour un bon fonctionnement de la vésicule biliaire. La fumeterre est une plante bien connue pour ses vertus dépuratives sont bien connues. Elle a la propriété de stimuler la vésicule biliaire, permettant ainsi une bonne production et une bonne évacuation de la bile, indispensable à une bonne digestion. Elle permet de calmer les spasmes intestinaux et est très efficace pour soigner les migraines d’origine hépatiques.
  • La mélisse stimule la production de bile. Bien connue pour ses propriétés anti-stress et sédatives, la mélisse peut aussi vous aider à mieux digérer. En augmentant la production de bile par le foie, elle stimule la digestion. De plus, elle a une action antispasmodique intéressante pour diminuer les contractions de l’estomac. 
  • La gentiane jaune contre les maux d’estomac. La gentiane jaune est une plante médicinale utilisée pour stimuler l’appétit et faciliter la digestion lorsqu’elle est prise après les repas. Elle soulage les troubles digestifs et les maux d’estomac.
  • Le romarin est une plante très efficace pour les personnes souffrant d’insuffisance biliaire. En effet, cette plante aromatique stimule la sécrétion de la bile, ce qui facilite la digestion au niveau intestinal. Sa consommation est recommandée en cas de maux de ventre, de ballonnements et de constipation.
  • La camomille romaine apaise le système digestif. Bien connue pour ses propriétés sédatives (elle aide à trouver le sommeil), la camomille est aussi une alliée de choix pour bien digérer. Elle permet de stimuler tout le système hépatique, et à prévenir les infections intestinales. Elle a aussi des vertus apaisantes, bien utiles en cas de spasmes digestifs, de ballonnements, de crampes d’estomac…
  • La réglisse contre les crampes d’estomac. Particulièrement efficace en cas de maux d’estomac, la réglisse aide aussi à soulager les douleurs abdominales.
  • La mauve protège l’organisme des inflammations. Elle prévient, entre autres, des brûlures d’estomac et régule le transit intestinal, mais elle est également utilisée dans le traitement de la constipation.
  • La verveine est connue pour ses propriétés apaisantes sur le système digestif. Elle calme les crampes abdominales et est efficace dans le traitement des douleurs gastriques passagères.

Si la digestion s’avère plus difficile, d’autres solutions existent, notamment le jeune intermittent qui permet de mettre au repos tout le système digestif. Si les solutions ne fonctionnement pas, il est conseillé de consulter un gastro-entérologue.

Si les troubles digestifs sont chroniques, il serait intéressant de travailler sur les causes de ces troubles. Dans la plupart des cas, le stress est déclencheur de problématiques.

3 – Les plantes : une aide précieuse

Pour mieux aider son estomac, vous pouvez terminer le repas par une tisane au lieu du sempiternel café. Voici quelques plantes qui vont aider efficacement à la digestion :

  • La menthe (poivrée) soulage les spasmes.Il existe plusieurs façons de profiter des bienfaits digestifs de la menthe poivrée.
  • Le fenouilcontre les gaz et les nausées. Les graines du fenouil sont très intéressantes, en particulier pour leurs propriétés digestives. Riches en principes actifs, elles favorisent la digestion et permettent de lutter contre de nombreux petits maux de la sphère digestive.
  • Le basilic stimule la digestion. Plante aromatique au goût délicieux, elle recèle de nombreuses propriétés santé, en particulier sur la sphère digestive. Il permet en effet de soulager les ballonnements et les gaz, de diminuer les crampes d’estomac et, de manière plus générale, de stimuler la digestion.
  • Le chardon-Marie stimule le foie. Connue depuis des siècles pour ses bienfaits biliaires et hépatiques, elle aide à traiter les excès de bile et à prévenir les congestions du foie. Elle permet également de traiter efficacement les différentes maladies du foie : intoxications, hépatites, cirrhoses…
  • Le radis noir pour un effet détox. Bien connu pour ses propriétés détox, le radis noir nettoie le foie pour stimuler son bon fonctionnement, et donc rétablir une digestion optimale.
  • La fumeterre pour un bon fonctionnement de la vésicule biliaire. La fumeterre est une plante bien connue pour ses vertus dépuratives sont bien connues. Elle a la propriété de stimuler la vésicule biliaire, permettant ainsi une bonne production et une bonne évacuation de la bile, indispensable à une bonne digestion. Elle permet de calmer les spasmes intestinaux et est très efficace pour soigner les migraines d’origine hépatiques.
  • La mélisse stimule la production de bile. Bien connue pour ses propriétés anti-stress et sédatives, la mélisse peut aussi vous aider à mieux digérer. En augmentant la production de bile par le foie, elle stimule la digestion. De plus, elle a une action antispasmodique intéressante pour diminuer les contractions de l’estomac. 
  • La gentiane jaune contre les maux d’estomac. La gentiane jaune est une plante médicinale utilisée pour stimuler l’appétit et faciliter la digestion lorsqu’elle est prise après les repas. Elle soulage les troubles digestifs et les maux d’estomac.
  • Le romarin est une plante très efficace pour les personnes souffrant d’insuffisance biliaire. En effet, cette plante aromatique stimule la sécrétion de la bile, ce qui facilite la digestion au niveau intestinal. Sa consommation est recommandée en cas de maux de ventre, de ballonnements et de constipation.
  • La camomille romaine apaise le système digestif. Bien connue pour ses propriétés sédatives (elle aide à trouver le sommeil), la camomille est aussi une alliée de choix pour bien digérer. Elle permet de stimuler tout le système hépatique, et à prévenir les infections intestinales. Elle a aussi des vertus apaisantes, bien utiles en cas de spasmes digestifs, de ballonnements, de crampes d’estomac…
  • La réglisse contre les crampes d’estomac. Particulièrement efficace en cas de maux d’estomac, la réglisse aide aussi à soulager les douleurs abdominales.
  • La mauve protège l’organisme des inflammations. Elle prévient, entre autres, des brûlures d’estomac et régule le transit intestinal, mais elle est également utilisée dans le traitement de la constipation.
  • La verveine est connue pour ses propriétés apaisantes sur le système digestif. Elle calme les crampes abdominales et est efficace dans le traitement des douleurs gastriques passagères.

Si la digestion s’avère plus difficile, d’autres solutions existent, notamment le jeune intermittent qui permet de mettre au repos tout le système digestif. Si les solutions ne fonctionnement pas, il est conseillé de consulter un gastro-entérologue.

Si les troubles digestifs sont chroniques, il serait intéressant de travailler sur les causes de ces troubles. Dans la plupart des cas, le stress est déclencheur de problématiques.